La liste est longue et on a même la gentillesse de tolérer que son nom serve de porte d’entrée internationale du Québec. Déjà dans les années 70, ce monsieur n’a pas hésité à suspendre les droits les plus fondamentaux de tout le Québec pour le plaisir de faire une démonstration de force, ni à envoyer la Gendarmerie Royale du Canada (GRC) voler les listes de membre du Parti québécois. Espionnage et sabotage, il poursuivit son œuvre méprisable en 1982 par l’imposition d’une constitution canadienne conçue pour détruire le tissu social et l’identité québécoise. C’est grâce à lui si on peut commencer à étudier en Anglais en Ontario et continuer en Anglais au Québec par la suite… Quel grand Canadien! Quel grand traître!